Nous sommes de retour au théâtre pour la présentation de la prochaine saison du Centre Dramatique National de l’Union et nous ne sommes pas seuls : c’est dans une ambiance caliente que l’équipe du théâtre à le plaisir d’accueillir à nouveau des spectateurs.
La présentation est animée par Christophe Floderer, directeur par intérim depuis le début de l’année.
- Introduction
Pendant 1h30, nous assistons à la découverte du programme et ce n’est pas un one man show mais bien un travail d’équipe qui a été réalisé pour cette présentation : alternant entre musique, apparitions vidéos, extrait live, fausse interview, les acteurs/actrices, metteurs/metteuses en scène se succèdent sur les planches
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- Extraits de présentation de: LES FRERES KARAMAZOV (Fédor Dostoïevski / Mise en scène & adaptation Sylvain Creuzevault), L’HOMME QUI TOMBE (Don DeLillo, Adaptation, mise en scène & scénographie Simon Mauclair), FRATERNITÉ (Caroline Guiela Nguyen), OÙ JE VAIS LA NUIT (librement adapté de l’opéra Orphée et Eurydice de Christoph Willibald Gluck, mise en scène Jeanne Desoubeaux), GLAISE De Franck Bouysse, mise en scène, scénographie & costumes Philippe Labonne.
A noter également:
- le retour des SORCIÈRES DE SALEM d’après Arthur Miller, mise en scène Paul Golub. Ce spectacle aurait du être joué par les académiciens de l’Union au printemps mais vous connaissez l’histoire. Session de rattrapage avec trois représentations cet automne.
- les actions culturelles, le théâtre hors les murs, les spectacles pour les enfants.
- les collaborations avec Les Zébrures d’automne, le festival Jazz Eclats d’Email ainsi que la biennale Danse Emoi.
Une présentation qui se déroule tranquillement quand soudain le piano entame “Le temps des cerises”… Moment choisi pour donner la paroles aux occupants de L’Union.
Pour ne pas oublier les mois d’occupation passés, parler du futur, pour dire non aux choix politiques qui nous plongent dans la précarité et la misère.
Pour conclure cette présentation, c’est toute l’équipe de l’ Union qui prend possession de la scène. Comme ils l’avaient fait il y a quelques mois pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail, c’est au micro et devant leurs spectateurs qu’ils souhaitent les remercier.