Fin des années 70 et au début des années 80 de nombreux groupes de musique décident de faire sans l’industrie musicale. Une prise de conscience, des moyens moins couteux pour enregistrer, produire un disque, il n’en fallait pas plus pour que le DIY fleurisse et donne naissance à l’indé pour tous.
Pour accompagner ces nombreuses formations, on voit apparaitre des labels comme Rough Trade (Royaume-Uni), SST Records (États-Unis), Factory Records et Dischord, Sub Pop…
Cette contre culture toujours en quête de plus de liberté trouve sa place dans les radios universitaires & associatives, les nombreux fanzines sans oublier la K7, LE support audio qui permet à cette musique d’être partagée au plus grand nombre.
Ça c’est le début de l’histoire.
Mais aujourd’hui, c’est quoi la musique indé ?
Voila une question posée par Rémi Laffitte dans son fanzine Futur Parlé 1.
Il a choisi de donner la parole à des groupes, labels et artistes venu·es de différents pays et de différentes cultures.
Pour aller plus loin:
Article publié le 30 octobre 2025